Il falais vraiment que je mette ce texte ici, peut etre cela vous parlera ou pas...
160 000 Amis :
Je regarde ce monde, je regarde cette vie, je regarde ce qu'il ce passe. Je suis là, mais je ne suis pas vivant. Je regarde et voilà ce que je vois. Ma vie, rien de beaux qui n'est un intérêt par la beauté qui s'en dégage. Mais intéressant par l'histoire d'un humain qui meurt. Intéressant dans se qui rentre dans les méandres du cerveau éclaté, non pas par des substances illicites mais par les maux qui s'abattent sur les épaules d'un humain trop petit et trop faible. Les maux qui rendent les rêves impossibles. Rêves qui rodent dans cette tête explosé, rêve qui reste emprisonner dans l'irréel.
En faite j'écris donc je suis, je saigne donc je suis, j'essuie des larmes donc je suis ; je suis vivant. Mais sans vie. Non pas sans désir mais dans l'impossibilité de me voire m'accomplir. Impossibilité un peux lassante à force. Pourquoi quand j'ouvre les yeux, je me rends compte que la réalité reste loin des histoires de mon sommeil ? Des choses j'en veux ! Mais ce corps ensanglanter personne n'en voudrais. Il peut juste servir de cobaye, je le donne à la science.
La science de l'humain et de ces malheurs, la science de la vie quoi. La science des 160 000 êtres qui essaye de mètrent fin à leurs jours chaque années en France. J'en fais partie. Autant d'incompris qui ne veulent plus de ce monde et de cette vie. Une tentative toute les 2 minutes. Un espoir, un rêve qui arrive à son accomplissement. Mais qui ce solde par un echec. Espoir de n'avoir plus mal, d'enfin êtres en paix. Evidement espoir déchu, sauf pour les quelques 13 000 qui ne se ratent pas. Un toute les 50 minutes. Un mort, une auto-mort, un suicidé. Rien que dans notre petit pays. Ce ne sont que des chiffres, mais moi je les vois. Je les vois tous, je pense à eux. J'ai l'impression de les connaitre chacun. Je vois tous ce qui a pues les détruire. Tous ces maux. Je sais qui ils sont, quel que soit leurs âges. Je sais qui je suis donc. Mais qui sais ce qu'on vie ? Je ne crois pas que l'empathie suffise. Tempi. Je veux juste un rêve. Je rêve, je veux juste êtres dans ce rêve même si ce n'est pas vraiment très beaux, même si c'est juste banal. Même si, même si... Juste êtres avec toi, j'en reviens à ça. Etres avec toi quoi que ça implique. Tempi pour le bonheur, je n'en demande pas tant. Je prends l'amour avec la souffrance mais l'amour ne me prend pas. Il me laisse me perdre dans ces chiffres.